«Santa & Cie» d’Alain Chabat en salles mercredi

948

Avec «Santa & Cie», conte de Noël pour petits et grands en salles mercredi, Alain Chabat est de retour devant et derrière la caméra, déterminé à enchanter les fêtes de fin d’année. Cinq ans après «Sur la piste du Marsupilami» (5,3 millions de spectateurs en France), adaptation des aventures du personnage de bande dessinée créé par Franquin, l’ex «Nul» porte à l’écran une aventure inédite et loufoque de Santa Claus. Avec une déferlante d’effets spéciaux et de spectaculaires décors, «Santa & Cie», met en scène les 92.000 lutins qui tombent malades quelques jours avant Noël, incapables de préparer les cadeaux à distribuer partout dans le monde. Santa Claus n’a d’autre choix que de se rendre d’urgence sur Terre avec ses rennes pour tenter de trouver un remède afin de sauver la magie de Noël. Avec l’humour déjanté et intact des Nuls, on retrouve Alain Chabat, alias Santa Claus, pariant sur le grand retour de l’ours en peluche, avec quelques clins d’oeil qui amuseront les plus grands: soumis aux cadences infernales, les lutins sont priés de «jouer moins pour travailler plus». A la veille de ses noces de flocons, Santa Claus, marié à Audrey Tautou, irrésistible en Mère Noël gouailleuse, se retrouve sur terre confronté à un univers hostile qui ne le reconnaît pas dans ses hautes fonctions. Devant un grand magasin, il croise un faux Père Noël joué par Jean-Pierre Bacri qui défend son territoire, le prenant pour un dangereux concurrent. Santa Claus finira même au poste de police, alors que la nuit de Noël approche. «Je me suis joyeusement lancé dans cette aventure, avec ce «Santa» largué qui découvre petit à petit notre monde, l’argent, les enfants… J’aime toujours beaucoup le principe du poisson hors de l’eau», explique Alain Chabat dans les notes de production. «Ce n’est pas mon exercice favori de jouer et diriger en même temps. Réaliser un film, c’est être 100% conscient de tout ce qui se passe sur le plateau, là où jouer demande un abandon total. Mais, ça a été énormément de plaisir !», confie le réalisateur qui signe son cinquième long métrage avec «Santa & Cie».