
Trois ans après l’affaire des écoutes téléphoniques illégales visant hommes politiques et journalistes, la cour pénale d’Athènes a entamé mercredi l’examen de ce retentissant scandale politique qui a éclaboussé la Grèce. Quatre personnes, deux Israéliens et deux Grecs, comparaissent pour «violation du secret des communications téléphoniques» et encourent une peine de cinq…
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