Cinéaste de l’intranquillité, l’Israélien Nadav Lapid livre avec «Oui» une charge radicale contre son pays devenu, selon lui, «le royaume de la haine et de la vengeance» depuis le 7-Octobre et le déclenchement de la guerre à Gaza. Sa fresque hallucinée suit, pendant 2h30, un musicien désoeuvré (Ariel Bronz) qui accepte de…
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