Le «Nouvel Observateur» refond ses suppléments «TéléObs» et «ParisObs», en prélude à des transformations dans la maquette de l’hebdomadaire destinées à «densifier» et à «accélérer» le rythme de lecture, ont annoncé lundi à la presse les dirigeants du groupe. Le «Nouvel Observateur» proposait jusqu’à présent à ses lecteurs franciliens deux suppléments : «TéléObs» sur la télévision et le cinéma (également distribué en province) et «ParisObs» sur l’actualité politique et culturelle de la région. En Ile-de-France, où vit 40% du lectorat de l’hebdomadaire, les deux suppléments seront réunis à compter de cette semaine en un seul, baptisé «TéléObs Paris» et centré sur la culture. Avec cette refonte, «TéléObs» devient «un magazine très cohérent de 108 pages, complémentaire du «Nouvel Observateur»», qui compte 20 pages culturelles, a indiqué le président du conseil de surveillance, Claude Perdriel. Le supplément couvrira l’actualité culturelle en Ile-de-France, le cinéma, la télévision – avec toujours les grilles de programmes – et proposera un guide pratique des sorties.