Leurs histoires se reflètent comme dans un miroir: dans « Dites-lui que je l’aime », adaptation au cinéma du livre de Clémentine Autain sur sa mère, Romane Bohringer, abandonnée par la sienne à l’âge de neuf mois, revient sur le destin de ces femmes dans l’impossibilité de tenir ce rôle. « Dès les premières phrases…
Le contenu de cet article est payant..
Pour voir cet article, vous devez l'ajouter à votre panier.
Cliquer sur le bouton "Ajouter au panier" ci-dessous
4.50 €Lire la suite


































