À l’occasion du MIP Junior, la nouvelle série «Il était une fois … ces drôles d’objets» (Procidis – 78 x 7’) a été présentée au public. L’occasion pour media+ d’évoquer l’évolution de la marque «Il était une fois…» avec Hélène BARILLÉ, Présidente de Procidis.
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La nouvelle série «Il était une fois … ces drôles d’objets» a été présentée au MIP Junior. Que représente cette production ?
Hélène BARILLÉ
Nous sommes très heureux d’enrichir la saga «Il était une fois…» d’une nouvelle série, «Il était une fois… Ces drôles d’objets» (78 x 7’), au cours de laquelle les enfants vont découvrir l’origine et les particularités des objets de leur quotidien. Nous sommes coproducteurs avec Samka Productions et HOT en Israël. Notre chaîne historique, France.tv, participe à l’aventure, TV5 Monde et RTS sont déjà à nos côtés. Et nous finalisons d’autres accords. Nous restons bien sûr fidèles à l’ADN de nos séries d’origine : apprendre en s’amusant grâce au célèbre personnage de Maestro.
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Que représente cette marque sur le marché international ?
Hélène BARILLÉ
Sur le plan de la notoriété et des chiffres, la série est connue dans plus de 100 pays. Aujourd’hui, elle vit surtout en Europe où elle jouit d’un énorme capital sympathie, ce qu’a confirmé, en 2022, une étude de notoriété BVA Doxa Kids faite dans 9 pays. Plus de 3 enfants sur 4 connaissent le personnage de Maestro. 90% des parents font confiance à nos séries pour transmettre des informations vérifiées à leurs enfants. D’autre part, Hello Maestro reste accessible à tous car chacune des séries visite le monde, traverse le temps, véhicule des valeurs humanistes, et est devenue un programme familial et reste non-genrée. Nous avons une communauté de plus de 600 000 followers actifs sur l’ensemble de nos réseaux sociaux.
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À quoi la saga «Hello Maestro» est-elle destinée aujourd’hui ?
Hélène BARILLÉ
Avant tout à rester fidèle à ses valeurs humanistes et durables ainsi qu’à l’information strictement vérifiée qu’elle véhicule. Hello Maestro c’est l’anti-fake news et un formidable vulgarisateur. Notre personnage sait expliquer simplement des choses très compliquées. C’est encore notre credo dans «Il était une fois… ces drôles d’objets». Ces critères ont fait le succès de la saga, ils sont à l’origine de sa pérennité et génèrent des vocations dans de nombreux pays du monde. C’est un produit clé en mains pour les institutions et les diffuseurs publics. Nous commençons également à officialiser le potentiel philanthropique de Maestro, déjà ami de l’UNICEF dans «Il était une fois… Notre Terre». Ce qui nous amuse toujours, c’est de constater que Maestro peut parler de tout, il n’a jamais été ridicule ni illégitime dans ses prises de parole.
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Réfléchissez-vous à une nouvelle déclinaison de la marque «Il était une fois…» ?
Hélène BARILLÉ
Nous sommes tout le temps en train d’y réfléchir ! Nous enrichissons progressivement la stratégie 360. Mais aujourd’hui nous vivons un grand évènement, car «Il était une fois… ces drôles d’objets» est la première série post Albert Barillé. En complément, nous tentons le pari de faire revivre un autre héros longtemps resté dans l’ombre, mais dont il reste de nombreux fans : les aventures de Colargol.
