Valérie Trierweiler, exclue de «Paris Match»

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«De journaliste, je suis devenue d’abord sujet pour «Paris Match»»: Valérie Trierweiler tire les conséquences de sa relation avec François Hollande et accepte son exclusion de la «vie collective» de la rédaction, le temps de la campagne présidentielle. Comme sa consoeur Audrey Pulvar, compagne du socialiste Arnaud Montebourg, Valérie Trierweiler invente avec ses employeurs de nouvelles règles pour continuer d’exercer son métier de journaliste, alors qu’il y a encore quelques années, Anne Sinclair, Béatrice Schönberg ou Marie Drucker, dans des situations similaires, avaient dû quitter les projecteurs. «La direction de «Paris Match» et Valérie Trierweiler sont convenues d’un commun accord que Valérie, qui continue d’être une journaliste de plein exercice du magazine, s’abstiendrait désormais et pour la durée de la campagne présidentielle de toute participation à la vie collective du journal (conférences de rédaction, bouclages)», a annoncé l’hebdomadaire dans un bref communiqué.