Dans «Joséphine s’arrondit», comédie romantique en salles mercredi, l’actrice Marilou Berry caricature la maternité et ses conséquences sur la relation de couple, pour son galop d’essai derrière la caméra. Le long métrage sort 3 ans après le succès de «Joséphine» – près de 600.000 entrées -, dont il est la suite. Sortie en 2013, cette comédie d’Agnès Obadia narrait les déboires d’une trentenaire bien en chair à la recherche de l’homme de sa vie. «Joséphine s’arrondit» reprend le récit là où la réalisatrice l’avait laissé: la rencontre entre la jeune femme et le ténébreux Gilles, campé dans les 2 opus par Medhi Nebbou. Comme dans le 1er volet, c’est Marilou Berry, 33 ans, que le cinéma avait repéré en 2008 dans «Vilaine», qui interprète cette trentenaire dont le personnage est inspiré d’une BD éponyme de la dessinatrice Pénélope Bagieu. Mais le film acte surtout l’entrée en matière derrière la caméra de la fille de Josiane Balasko – qui fait une brève apparition à l’écran en jouant… sa mère.