«Prison Break 2»: les célèbres taulards en cavale lâchés sur M6 (diffusion à partir du 13 septembre à 20h50)

    Les frères Burrows et Scofield, évadés du pénitencier de Fox River, font leur rentrée sur M6 avec la deuxième saison inédite de la série américaine «Prison Break», très attendue en France où la première saison a connu un gros succès d’audience. Véritable course contre la montre – et la mort – sur fond de conspiration, la deuxième saison de cette série culte créée par Paul Scheuring se découpe en 22 épisodes, qui seront diffusés en version française. La première saison avait fait sensation à la rentrée 2006 sur M6, rassemblant en moyenne 5,8 millions de téléspectateurs, soit une part d’audience de 37,3% chez les moins de 50 ans. La chaîne avait enregistré un pic d’audience à 7,4 millions de téléspectateurs pour la diffusion des deux derniers épisodes, son meilleur score depuis deux ans. Aux Etats-Unis la série, diffusée sur le réseau Fox depuis 2005, a également fait un tabac. Le feuilleton devrait d’ailleurs connaître une troisième saison, la Fox ayant donné son feu vert au tournage en mars dernier. La trame de «Prison Break» est la suivante: Michael Scofield (Wentworth Miller), ingénieur de génie civil, se fait délibérément emprisonner au pénitencier de Fox River (Illinois) dans le but d’organiser l’évasion de son frère, Lincoln Burrows (Dominic Purcell), condamné à mort pour le meurtre du frère de la vice-présidente des Etats-Unis… qui s’avère un coup monté au plus haut niveau. Pour réussir cet exploit a priori impossible, «Scofield» s’est fait tatouer sur le haut du corps les plans et passages souterrains du pénitencier, qu’il a lui-même conçu pour une entreprise sous-traitante. Six autres taulards se retrouvent vite associés ainsi au plan, qui s’avère, du coup, encore plus compliqué que prévu. Parmi eux figurent de dangereux criminels, comme l’abominable «T-Bag», emprisonné pour viol d’enfants ou le mafioso John Abruzzi (Peter Stormare), mais aussi des personnages plus «sympathiques», comme «Sucre» (Amaury Nolasco), son compagnon de cellule. La première saison retraçait avec minutie ce long chemin vers la liberté, ses moult obstacles et rebondissements, dans une atmosphère angoissante de quasi huis clos carcéral. Le tout rythmé efficacement par les fameux «cliffhanger», ces fins d’épisodes abruptes qui rendent accro à la suite.