La société Metro France a été condamnée jeudi à verser 5 000 euros de dommages et intérêts à la journaliste Laurence Ferrari pour avoir fait état fin novembre, sur le site Internet Metro.fr, de rumeurs lui prêtant une relation avec le président de la République Nicolas Sarkozy. La journaliste, qui demandait 25 000 euros de dommages et intérêts pour atteinte au respect de sa vie privée, a en outre obtenu 3 000 euros de frais d’avocats, mais n’a pas eu gain de cause sur une demande de publication judiciaire.