Video à la demande: l’offre légale est déjà développée, selon les éditeurs

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    Les éditeurs de services de Vidéo à la Demande (VoD) affirment mardi dans un communiqué commun qu’il existe «un grand nombre» d’offres légales de VoD disponibles pour les internautes et que cela «ne cesse d’augmenter». Réagissant aux arguments avancés par les adversaires du projet de loi contre le piratage en ligne pointant notamment l’insuffisance d’offre légale de contenus, le syndicat des éditeurs de VoD «tient à rappeler qu’il existe un grand nombre d’offres disponibles portant sur tous les genres, cinématographiques comme audiovisuels». «Les internautes peuvent avoir accès à toutes les oeuvres qu’elles soient récentes ou de catalogue, dès lors que les ayants droit, auteurs et producteurs en autorisent la mise en ligne, dans les délais légaux», assure le syndicat. Le syndicat évoque également le site Total VoD, qui référence ces offres, ainsi que la télévision de rattrapage. Selon les éditeurs, «l’offre légale existe» et «ne cesse d’augmenter», mais son équilibre économique dépend «de la mise en oeuvre de moyens visant à restreindre les usages illégaux et la contrefaçon qui lui font une concurrence déloyale». Ce syndicat réunit notamment Canal Play, TF1 Vidéo, France Télévisons Interactive, Arte France, Glowria, Filmo TV, Univers Ciné, MK2 Vidéo, INA, M6 VoD, Vodéo, Iminéo et Virgin. Certains d’entre eux ont des partenariats avec Darty, Fnac, Carrefour, Allociné, Numéricâble, Free, Neuf et Orange, qui proposent des offres légales.