Entretien avec Hubert Taieb, DGA de TF1 Entreprises (TF1 licences)

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Vous lancez le magazine officiel «The Voice», disponible en kiosque aujourd’hui au prix de 4,50€. A combien d’exemplaires tirez-vous ce magazine ? Quelles sont vos espérances de vente ?

Hubert Taieb

Le magazine officiel «The Voice» sera tiré à 60.000 exemplaires avec des espérances de vente allant de 50 et 60% voire plus. Pour l’instant, deux numéros devraient être publiés. En fonction de la perception et de l’accueil du public, la fréquence de publication pourrait être plus pérenne. Afin de séduire le lus grand nombre, le magazine se veut original dans sa conception, notamment par l’existence de flashcodes qui permettront aux fans de smartphones, d’accéder à des bonus (photos dédicacées, interviews,…). Notre éditeur Paperbox a édité le magazine «Star Academy» écoulé à 8 millions d’exemplaires en huit ans d’existence.

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Prévoyez-vous de distribuer d’autres produits dérivés autour de «The Voice»?

Hubert Taieb

En licence, nous commercialiserons pour la fin de l’année un produit édité par Lansay, avec un micro à l’effigie de «The Voice». Nous travaillons aussi avec TF1 Games pour l’élaboration d’un jeu de société sur l’émission musicale. Il devrait être disponible d’ici la fin de l’année.

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Quels sont les parrains qui se sont associés à «The Voice» ?

Hubert Taieb

Zalando (site de vente de chaussures) et Saint Algue Syoss (gamme de produits capillaires) parrainent l’émission. 

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Comptez-vous acquérir de nouvelles propriétés ?

Hubert Taieb

Bien entendu ! C’est notre quotidien. A travers le travail de TF1 Licences, plus de 30 millions de produits sont vendus annuellement. Une grande proportion des propriétés dont nous avons la charge est d’ailleurs destinée à la jeunesse.

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Travaillez-vous encore sur la licence «Danse avec les Stars» ?

Hubert Taieb

Absolument ! La mise en vente de produits «Danse avec les Stars» avance lentement car c’est un programme événementiel. Pour installer une marque et séduire les industriels dans un contexte de crise, seul le temps est efficace. Quand la BBC a lancé «Danse avec les Stars», elle a attendu 3 ou 4 saisons pour commercialiser des produits dérivés.