La chaîne féminine du câble et du satellite JUNE, éditée par Lagardère Active, vient de lancer un docu-réalité d’envergure «Les Incubateurs», programme visant à faire rayonner la chaîne. Entretien avec Camille BIGNON, Directrice des programmes de JUNE qui nous détaille sa politique éditoriale.
media+
Quatre ans après son lancement, comment le curseur éditorial de JUNE évolue-t-il ?
Camille BIGNON
Très clairement, le cœur de cible de JUNE se concentre autour des femmes de 20 à 30 ans. Notre cible publicitaire est quant à elle axée sur les femmes 15-34 ans. Editorialement parlant, nous nous concentrons sur trois piliers : les séries, la mode et l’incarnation. De fil en aiguille, nous avons renforcé l’incarnation d’antenne avec la constitution d’une équipe d’animatrices et de comédiennes. L’incarnation permet non seulement d’être plus proche du public mais aussi de proposer une image différente des jeunes femmes. L’axe de la féminité gagnante est devenu primordial.
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Quels sont les points forts de votre programmation en 2014 ?
Camille BIGNON
Depuis lundi, nous diffusons «L’Incubateur June» (12X45’ – «She is the boss»), un docu-réalité original d’envergure qui est l’expression de cette fameuse féminité gagnante. Dans cette émission hebdomadaire en Prime, nous suivons 5 jeunes femmes ayant des projets d’entreprises à accomplir. Ces dernières sont accompagnées par des mentors qui viennent les aider. Ce format correspond bien à ce que nous voulons faire. Autre point fort, nos formats mensuels très glamour et féminins tels que «L’émission Mode» (Carson) de Mareva Galanter, ou «Navie Point Conne» (FIRR), un format-court humoristique. Côté séries, nous avons accès à des grosses séries américaines issues des chaînes CW et ABC Family notamment. Dans quelques semaines nous lancerons la saison 3 de «Pretty Little Liars» (24X52’). Nous sommes actuellement en pleine diffusion de la saison 2 de «Hart of Dixie» (22X60’), et pendant les vacances nous avons lancé «Don’t Trust the B—- in Apartment 23», une série très drôle. En avril, nous accueillerons une nouvelle production d’ABC Family.
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Quelle est votre politique en matière d’émissions propres ?
Camille BIGNON
En tant que chaîne du câble, nous avons une double logique : être proche de notre cible tout en essayant de ne pas trop être dans l’événementiel. C’est pourquoi, nous avons des discussions permanentes avec les producteurs. Nous recherchons, avec les moyens qui sont les nôtres, des formats innovants et dans l’air du temps ayant un pendant digital. C’est un bon moyen pour faire rayonner la chaîne au-delà de l’antenne.
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Comment évolue concrètement votre audience ces derniers mois ?
Camille BIGNON
Nous observons une certaine stabilité de notre audience dans un univers très compliqué. C’est plutôt bon signe. Aux dernières nouvelles, nous restons la chaîne la plus féminine du PAF avec 73% de femmes dans notre structure d’audience. Le succès de JUNE se mesure aussi sur le digital. Nous avons lancé un partenariat éditorial avec melty à la rentrée. Ils éditent notre site june.fr. La marque commence à exister sur Facebook. Nous réunissons pratiquement 140.000 fans contre 30.000 il y a 1 an.
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Quatre ans après son lancement, comment le curseur éditorial de JUNE évolue-t-il ?
Camille BIGNON
Très clairement, le cœur de cible de JUNE se concentre autour des femmes de 20 à 30 ans. Notre cible publicitaire est quant à elle axée sur les femmes 15-34 ans. Editorialement parlant, nous nous concentrons sur trois piliers : les séries, la mode et l’incarnation. De fil en aiguille, nous avons renforcé l’incarnation d’antenne avec la constitution d’une équipe d’animatrices et de comédiennes. L’incarnation permet non seulement d’être plus proche du public mais aussi de proposer une image différente des jeunes femmes. L’axe de la féminité gagnante est devenu primordial.
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Quels sont les points forts de votre programmation en 2014 ?
Camille BIGNON
Depuis lundi, nous diffusons «L’Incubateur June» (12X45’ – «She is the boss»), un docu-réalité original d’envergure qui est l’expression de cette fameuse féminité gagnante. Dans cette émission hebdomadaire en Prime, nous suivons 5 jeunes femmes ayant des projets d’entreprises à accomplir. Ces dernières sont accompagnées par des mentors qui viennent les aider. Ce format correspond bien à ce que nous voulons faire. Autre point fort, nos formats mensuels très glamour et féminins tels que «L’émission Mode» (Carson) de Mareva Galanter, ou «Navie Point Conne» (FIRR), un format-court humoristique. Côté séries, nous avons accès à des grosses séries américaines issues des chaînes CW et ABC Family notamment. Dans quelques semaines nous lancerons la saison 3 de «Pretty Little Liars» (24X52’). Nous sommes actuellement en pleine diffusion de la saison 2 de «Hart of Dixie» (22X60’), et pendant les vacances nous avons lancé «Don’t Trust the B—- in Apartment 23», une série très drôle. En avril, nous accueillerons une nouvelle production d’ABC Family.
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Quelle est votre politique en matière d’émissions propres ?
Camille BIGNON
En tant que chaîne du câble, nous avons une double logique : être proche de notre cible tout en essayant de ne pas trop être dans l’événementiel. C’est pourquoi, nous avons des discussions permanentes avec les producteurs. Nous recherchons, avec les moyens qui sont les nôtres, des formats innovants et dans l’air du temps ayant un pendant digital. C’est un bon moyen pour faire rayonner la chaîne au-delà de l’antenne.
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Comment évolue concrètement votre audience ces derniers mois ?
Camille BIGNON
Nous observons une certaine stabilité de notre audience dans un univers très compliqué. C’est plutôt bon signe. Aux dernières nouvelles, nous restons la chaîne la plus féminine du PAF avec 73% de femmes dans notre structure d’audience. Le succès de JUNE se mesure aussi sur le digital. Nous avons lancé un partenariat éditorial avec melty à la rentrée. Ils éditent notre site june.fr. La marque commence à exister sur Facebook. Nous réunissons pratiquement 140.000 fans contre 30.000 il y a 1 an.
