Chaque soir, du lundi au vendredi, un duo de candidats va affronter «The Wall», le nouveau jeu d’Access Prime Time de TF1, et tenter de remporter une somme record allant jusqu’à plus d’1,5 M€. Produit par Endemol, «The Wall : face au mur» veut s’imposer rapidement comme l’une des valeurs sûres de TF1 en matière de jeux.
A chaque numéro, Christophe Dechavanne accueillera un tandem de candidats. Ces derniers se retrouveront face à un mur vertigineux de 12 mètres de haut, équivalent à un immeuble de 4 étages.
En trois manches, les participants tenteront d’accumuler la plus grande cagnotte possible en lâchant 3 types de boules du haut de l’édifice : des vertes pour gagner de l’argent, des rouges qui peuvent en faire perdre et des blanches qui se transforment en fonction des réponses. Ce mur est diabolique puisqu’il peut très vite faire grimper la cagnotte mais aussi la faire chuter en une seconde. «Le jeu repose à la fois sur une mécanique très pure et très hypnotique qui s’appuie sur un mélange de culture générale et de chance», détaille Christophe Dechavanne qui retrouve à la télévision un format à la hauteur de sa qualité d’animateur.
Cela fait plusieurs mois que TF1 suit l’ensemble de l’élaboration du programme avec les équipes de NBC aux Etats-Unis, avant même sa 1ère diffusion en décembre dernier. Face au succès d’audience engendré par «The Wall» outre Atlantique, la chaîne française a mis en chantier le tournage de 40 numéros. A chaque émission, si tout se passe bien, les candidats pourront partir avec 1,5 M€ de gains. Il s’agit de la somme la plus élevée, jamais mise en jeu par TF1 depuis sa création. «Certes aux Etats-Unis le gain s’élève à 12 M$, mais eux, ils ont Trump !», lâche Christophe Dechavanne qui insiste sur le «yoyo émotionnel» généré par le jeu. «Rien n’est joué d’avance, à aucun moment. Personne ne peut déceler ce qui va se passer y compris dans les 10 dernières secondes», dit-il.
Au programme, de l’émotion, du suspens et de la tension agréable. «Nous n’avons jamais vu ça en France», revendique l’animateur. «C’est un nouveau Christophe que vous allez voir. J’ai grandi, j’aurai des lunettes et je serai à la fois dans l’accompagnement et l’empathie avec les participants. Ce jeu là, ce n’est pas la «Famille en or». Il y aura une certaine solennité car il y a des enjeux dans le jeu», explique-t-il. Pour y participer, il faut avoir de la chance, c’est sûr, mais aussi des connaissances solides pour remporter le plus de boules vertes. Le mur, vedette de l’émission, est un petit bijou de technologie. Plus de 300 modules vidéos y sont configurés. «Ce jeu est une performance à tous niveau. Je ne pense pas que les téléspectateurs s’en rendront compte mais le changement de couleur des boules, la façon dont le mur s’allume, réagit et donne des réponses, est hyper impressionnant», avoue Christophe Dechavanne.
En plus de «The Wall», l’animateur entretient une relation continue avec TF1 puisque sa société Coyote fournit les différentes déclinaisons de «Bienvenue chez nous» en Access. Il travaille par ailleurs avec la chaîne sur une émission de dating. Un programme dont le tournage est très avancé. «Chez Coyote, nous avons mis au point une nouvelle forme d’écriture sur laquelle nous avons un vrai savoir-faire», conclut-il.
